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La Suisse a grandement allégé la procédure de divorce !

En Suisse, il n’y a pas 36 manières de divorcer. On peut le faire, soit en optant pour la forme classique du « divorce bagarre » comme le désigne le site spécialisé dans le divorce en ligne qu’est divorce.ch (https://divorce.ch/), soit en choisissant de le faire à l’amiable (ou « par consentement mutuel »). Cette possibilité ouverte par le législateur à l’orée du XXIème siècle a, depuis, convaincu la grande majorité des divorcés suisses, puisqu’ils sont 90 % à avoir choisi cette procédure.

La « faute » conjugale n’est plus un critère juridique valable

Pourquoi un tel succès ? D’une part parce que le consentement mutuel allège la procédure à tous points de vue, d’autre part parce que le législateur a, de plus, grandement standardisé les critères à partir desquels  un juge peut décider de ceci ou de cela dans le cadre d’un divorce classique ! Dit autrement, il n’est presque plus possible aujourd’hui de divorcer pour « faute » du conjoint (sauf évidemment si l’un des conjoints commet un délit relevant du pénal, comme un enlèvement d’enfant, etc.).

A découvrir sur divorce.ch : le divorce par consentement mutuel de A à Z
Source : www.divorce.ch

Les avantages du consentement

À moins que l’un des deux ne veuille pas divorcer obligeant l’autre à faire une demande unilatérale de divorce, s’embarquer dans un « divorce bagarre » ne peut pas mener à grand-chose. Alors que le divorce suisse par consentement mutuel présente de nombreux avantages : il est peu coûteux (voir ici), rapide, et si « simple » qu’il peut même se faire sans avocat, et en ligne !