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En Suisse, c’est fini, on ne se bat plus pour divorcer… !

Voilà 18 ans déjà que la Suisse a éliminé la question de la « faute » de la gestion juridique des divorces. On ne peut plus y demander le divorce au motif que l’autre aurait commis ceci ou cela de dommageable à la relation (avoir un amant ou une amante par exemple, passer ses week-ends chez des amis, etc.), ne relevant pas du droit pénal (comme violer l’autre, enlever un enfant, etc.). On peut donc, soit divorcer d’un commun accord (ce qu’on appelle le « consentement mutuel »), soit entrer dans une longue et pénible procédure couteuse à tous points de vue (cela coûte cher, cela prend énormément de temps, cela est moralement et psychologiquement pénible, notamment pour les enfants, etc.). Résultat, aujourd’hui 9 divorcés suisses sur 10 l’ont fait à l’amiable.

 

Divorcer vite et sans avocat… !

Divorce à Vaud ou ailleurs, à défaut d’accord amiable, passer par un avocat… ?
Source : www.divorce.ch

Pour ce faire, il faut remplir une convention de divorce et y mettre par écrit les accords établis entre l’un et l’autre pour ce qui va nécessairement découler du divorce (la garde des enfants, l’attribution du domicile conjugal et/ ou de la voiture, savoir qui va garder le chien…). Une procédure que facilite grandement le site spécialisé dans le divorce à l’amiable et en ligne qu’est Divorce.ch (https://divorce.ch/). Et si vraiment le couple n’arrive pas à s’accorder sur tel ou tel autre point – et qu’il s’agisse d’un divorce à Genève ou ailleurs – on lui conseillera de se faire accompagner par un médiateur (voir ici), car, à défaut d’entente, le juge fera de toute façon passer l’intérêt des enfants en premier.